Revenir chez soi Fin janvier, je repars de rien, ou presque. Je retrouve tout de même mon appartement, les objets ont bougé mais les murs sont toujours là. Je reviens et je me rends compte que ça fait bien longtemps que je ne me suis pas plongée dans ce projet. En fait il ne
Continue Reading « Boire un verre à la terrasse d’internet »
Je cherche à savoir si William Sheller murmurait « je cherche » à l’infini dans son « Carnet à spiral »Je cherche à comprendre ce que je ne comprends pasJe cherche parfois à ne rien comprendreJe cherche à savoir si je m’inspire « trop » d’un article de Paul B Preciado sur « libé » pour écrire cet articleJe cherche un amour qui
Continue Reading « Je cherche, je cherche, cherche, cherche »
Ma recherche porte sur l’homogénéisation et la standardisation des villes et des objets de consommation à l’échelle mondiale, en examinant les déplacements dans les lieux publics. À travers une analyse de la mondialisation, phénomène global influençant la structure des espaces urbains, je souhaite montrer que nous utilisons et consommons la ville. Aujourd’hui, nous ne faisons
Cet article regroupe trois expressions de mon processus de recherche pour mon projet de master ArTeC au cours de l’automne 2021. C’est une documentation de ces « tentatives », qui témoigne chacune de différentes manières d’aborder mon sujet de recherche, mais aussi de questionner ce qu’est pour moi faire recherche ou même « recherche-création ».
C’est dans le cadre du cours Carnet en ligne que je rends ce texte, qui s’est construit en réponse à cette exigence ex- ou implicite qui traverse tous nos débuts de semestre, soit celle de re-présenter notre projet de recherche-création à nos enseignant·e·s, devant le reste du groupe. J’ai d’abord cherché à me soustraire à
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Pourquoi je vis ce processus de carnet de voyage comme un rendez-vous raté avec l’ensemble des protagonistes visibles et masqués, actifs et passifs, impliqués dans la démarche.
En parcourant les articles de mes collègues, je tombe sur celui de Ieva qui revient aux sources de son travail. Comme dirait Simon Sinek*, le nouveau guru des entreprises, son « Why ». Ieva décrit très bien ce temps où c’est un peu le bordel et qu’il peut s’avérer utile de faire un pas en arrière, se
À la fin de notre séjour à la métive, j’ai eu la chance de discuter avec Aurore Claverie, la directrice du lieu. Au cours de la discussion elle me posa la question fondamentale et celle que nous ne devons jamais oublier lors de la réalisation de nos projets : « pourquoi tu fais ça ? »
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